Les complications engendrées par la loi sur le lobbyisme sont nombreuses: citons par exemple les communications avec les titulaires d’une charge publique pour la modification à la règlementation municipale en matière de zonage, d’attribution de permis, de certificats ou d’autorisations visées par la loi. En outre, une simple demande de réduction des délais pour l’obtention d’un permis constitue une activité de lobbyisme qui nécessite l’inscription d’un mandat au registre. Le commissaire au lobbyisme du Québec considère cela comme une tentative d’influence.
Sans sacrifier à des pratiques éthiques et transparentes, l’IDU est d’avis que la loi devrait comprendre quelques exclusions à ses applications, notamment les actes de gestion des organismes municipaux, ainsi que toutes les communications exécutées dans le cours normal des affaires du secteur immobilier.
À son dernier conseil d’administration, l’IDU a adopté une position et le PDG a reçu le mandat de la communiquer aux autorités.